Voici les résultats d’un étude scientifique sur la pratique du grounding qui a été réalisée par Gaétan Chevalier, Earthing Institute, Thousand Palms, California, USA.
L’étude se nomme : The Effects of Grounding on Meditation Quality: Preliminary Study Report—A Case Series
Gaétan Chevalier, PhD, est directeur de l’Institut Earthing. Chercheur à l’Institut californien des sciences humaines, chercheur invité au département de médecine familiale et de santé publique de l’UCSD et de santé publique à l’UCSD, et professeur affilié au département d’ingénierie électrique et informatique de l’Université du New Hampshire.
Méthode utilisée pour l’étude
La cartographie cérébrale à l’aide d’électrodes électroencéphalographiques (EEG) appliquées sur la tête
a été utilisée pour mesurer les fonctions cérébrales pendant les périodes de earthing et les périodes sans.
Dix participants âgés de plus de 18 ans (âge moyen de 50,2 ans) qui méditent quotidiennement depuis plus d’un an ont été invités à méditer en utilisant leur propre technique de méditation tout en restant au sol. Les seules exigences de la technique de méditation étaient que la méditation doit se faire dans l’immobilité (aucun mouvement n’est mouvements) et qu’elle n’implique pas de techniques de respiration. Les participants n’étaient pas autorisés à prendre de la nourriture, de la caféine ou d’autres stimulants dans les deux heures précédant le test.
Les participants ont été suivis séparément pendant qu’ils méditaient dans un fauteuil inclinable avec des conducteurs spéciaux. Ils ont été mis à la terre pendant 40 minutes au milieu de leur séance de méditation. La mise à la terre a été réalisée grâce à l’utilisation de cordes conductrices pour relier le fauteuil, ainsi que des patchs appliqués sur la paume des mains, au système de mise à la terre du bâtiment. Pendant les 15 premières minutes de la méditation et les 10 dernières minutes, les participants étaient déconnectés, c’est-à-dire non reliés à la terre. Ils ne savaient pas quand ils étaient ou n’étaient pas à la terre.
Résultats de l’étude : une méditation plus profonde
Tant sur le plan objectif que sur le plan participatif, une méditation plus profonde a été documentée pendant la période de méditation où les participants étaient ancrés par rapport à ceux qui ne l’étaient pas. Environ la moitié des participants ont montré, grâce à la cartographie cérébrale, des améliorations des fonctions cérébrales et la majorité d’entre eux montrent des signes de guérison. Ces résultats justifient des recherches plus approfondies avec un plus grand nombre de participants et un groupe de contrôle.
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